Sombre dans l’abîme dans lequel je t’attire…
Oh, mon amour ! Oh, mon aimé !
Esclave de cette vie qui t’enserre,
Tend la main et prend la clé,
Celle de ta liberté et de ton désespoir.
Vie futile et cruelle pourquoi prend tu ceux que j’aime ?
Soit, je n’aime personne mais ta cruauté est réelle.
Vie, mort, espoir, haine, silence, violence.
Si peu de mots pour un panel de sentiments.
Le langage est un art que la Mort ne peut ignorer.
Le silence après le brouhaha,
Le vide après le stress,
Le noir après l’éblouissement.
La présence a une limite.
L’absence n’en a aucune.
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