Torrent de bile. Bile de phrases.
Crève de ne pouvoir t’exprimer. S’exprimer.
Murs infranchissables de sentiments confus.
Souffrance indéniable des lettres oppressées.
L’arc-en-ciel de ta vie pare ton être éteint
De mille couleurs. Flammes chatoyantes.
Muette, j’observe ton amour qui rayonne.
Ma vie, mon âme j’abandonne ma misère.
Entière je n’appartiens qu’à moi seule.
Parcellaire, je n’existe qu’à travers ton obscurité.
En chaque rêve, je m’éveille pourpre et aveugle.
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