Silences pesants des pleurs aigus
Des êtres émaciés et larmoyants
Qui te contemplent l’ultime minute.
Le givre de tes doigts fins
Enserre d’une poigne glacée
Mon âme meurtrie et fanée.
Contraste d’un feu irradiant
Ton esprit torturé mais serein
Et de membres raidis et paralysés
Par le froid cadavérique qui empale,
Ton cœur de pics et de pieux acérés
Ton sourire étrange immole
Les espoirs présomptueux des misérables
Spectateurs qui assistent déconfits
A une fin qu’ils ne peuvent comprendre.
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