Vie sans âme et sans miséricorde,
J’applique ma paume sèche sur
Ton pouls immobile et silencieux.
Etre de cher et de sang prend garde !
Salvatrice, l’amie t’attend
Au carrefour des âmes bénies.
Paisible nuit brillante d’étoiles
Le ciel happe ton ultime respiration
Et forme une lumière de plus
Sur la voûte scintillante de la mort.
Le tic tac de l’horloge ne résonne plus
Mystère abyssal d’un regard fixe
Hurlement muet qui se répercute
Sur les murs capitonnés de ta non-vie.
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