D’un amour infini, abîme insondable,
Mon regard hagard sillonne le paysage.
Damned ! Que la vie semble belle
Lorsque le rouge emplit mes paupières lourdes.
J’entends le tic-tac de la trotteuse trotter
Tic, tac, tic, tac. La vie s’en va comme elle vient.
J’erre de veines en veines cherchant la palpitante
Celle qui jure par ses pulsations la vitalité maudite.
J’enrage que la mort se moque, rieuse. Vaines
Tentatives infructueuses d’un bonheur sans nom.
Je me tais. Je ferme mes yeux clos. Et j’écoute.
Chaque parcelle qui m’entoure crie famine et expire.
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