Jeunesse décadente et candide
Souris à l’empire qui te gouverne
Armes-toi d’un regard indolent et insolent.
La mise que tu as jouée ne sera point perdue.
La roue tourne, le soleil aussi.
Tend ta main, paume ouverte, au ciel.
L’astre darde ses pâles rayons.
Et le bousier roule son fardeau inlassablement.
Du noir au rouge se dilatent les pupilles.
Le silence emplit l’espace autant que le boucan.
Les rires s’éloignent. Meurent les pleurs.
Larmes amères. Et acides. Et salées.
Le jeu n’en valait pas la chandelle.
Mais le Maître n’a pas demandé l’avis.
Les règles s’imposent. L’enjeu est mortel.
Et le sourire aux lèvres, il parie sur une case.
Bonne ou mauvaise ? Utile ou inutile ?
Essayes encore…tu gagneras peut être….
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